Au revoir, puisses-tu être repartie
Tes incursions remplies d’impacts
Caustique tu dissous mes réparties
Malgré l’armistice de notre pacte
Vieille ennemie, nouvelle épreuve
Émerger du cauchemar m’est pénible
Ployant devant le fardeau de la pieuvre
Mes os craquent et tu restes impassible
Peine et haine inséparables
Vilaines ou en frasques
Sœurs jumelles détestables
Je subis vos bourrasques
Demeurer stoïque et froid
Enfoui sous un maitre de fermeté
Marmoréen, solide effroi
Échec du désillusionné
Vieille amie, nous le fûmes jadis
Sous ton poids j’étais, sûr, vivant
Souriant de tes noirs auspices
Une idioties dorénavant
Tapi dans un océan de douleurs
Transparent au corps d’aurélie
Fuyant a tout pris ton malheur
Éloigner ton hégémonie
Cancer dur comme l’acier
Escarre vive, un ulcère
Tu crois en la terre brûlée
Ravage en mes artères
Voyant ton travail de sape
Toujours prête à éclore
En ce jour je te frappe
Pour te passer le mors
À Peine, une faveur
Recouvre ta liberté
Pars et sévis ailleurs
T’ayant déjà tout donné

