Dimanche est la journée idéale pour relaxer et s’amuser et cela s’avère également pour un blogueur et ses lecteurs. L’article d’aujourd’hui sera donc court. Cependant, on a beau vouloir se la couler douce, on n’est pas obligé de faire dans la facilité. Je vous propose donc une série dominicale où vous pourrez choisir l’épithète que vous voudrez pour qualifier une pensée de mon cru. L’idée est que vous accoliez celle vous venant naturellement à l’esprit. Ces pensées émanent d’un cerveau dérangé et iront dans toutes les directions, des plus idiotes aux plus débiles en passant parfois par des sérieuses. Mon but n’est pas d’émuler Aristote ou Alexandre Jardin. En cas de doute, relire la première phrase.
Contrastes
Pour la plupart d’entre nous, un paysage de rêve ressemble à l’ile de Bora-Bora. Pour ces habitants Polynésiens, leur paysage de rêve ressemble sûrement au Québec en hiver.
Mathis A. LeCorbot 
Jalousie !
À prononcer comme dans « Un gars et une fille »
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La jalousie n’est-elle pas asymétrique dans mon type d’exemple ?
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Je viens d’aller voir sur wikipédia, parce que je ne sais pas (et ne sais toujours pas) c’est quoi au juste, une épithète.
Ce que j’avais pensé à propos de la pensée, c’est « on veut ce que l’on a pas, on a ce que l’on veut pas », mais je ne pense pas que c’est une épithète. Peut-être, que » de paradis contrariants »? J’aime la neige et je n’aime pas les îles où il fait chaud. J’aime le bleu, pourtant.
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Épithète est un qualificateur et un qualificateur peut être autant positif que négatif. J’aime bien votre commentaire qui est plus inspirant qu’une simple épithète.
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