Penser l’Univers autrement — 2

Dans l’article précédent, j’entame une réflexion sur une vision radicalement nouvelle de l’Univers, soit un « Univers tramé informatif plurivalent (UTIP) ». Puisque cet article se veut la suite, je vous recommande la lecture du premier volet.

Démystification des bizarreries quantiques

Mon Univers informatif tramé et plurivalent expliquerait les sauts quantiques des électrons et leurs orbitales, la non-localité et tout un tas de concepts quantiques difficilement compréhensibles et acceptables dont ceux reliés à la mesure. L’expérience des fentes de Young n’aurait plus rien d’incompréhensible ou de mystérieux.

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Décohérence quantique

Ce qu’on nomme la décohérence quantique n’est en fait que la matérialisation de l’information causée par un impact, une mesure, une commande spécifique ou un algorithme traitant un lot d’informations contenues dans plusieurs mailles et qui considère qu’une particule ou un groupe de particules prendra forme à cet endroit de l’espace-temps.

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Intrication quantique

Ce phénomène si combattu par Einstein, mais maintes fois prouvé, connait avec ma théorie une fin heureuse pour ce cher homme, ou à tout le moins une explication qu’il aurait pu accepter.

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Lors de l’émission de deux photons intriqués, on sait qu’on émet de l’information et non pas les photons eux-mêmes. Cette information se transporte à travers la trame à vitesse causale c (vitesse de la lumière). Lorsqu’il y a détection d’une caractéristique comme le spin d’un des deux photons, l’information sur le spin du deuxième photon intriqué est déjà rendue là où on va le matérialiser. L’intrication quantique ne viole donc aucunement la loi de la causalité.

Augmentation de la masse avec l’augmentation de la vitesse

Ce phénomène relativiste imaginé et calculé par Einstein se comprend assez bien avec l’Univers UTIP. On remarque dans notre monde que la masse d’une particule augmente avec sa vitesse jusqu’à valoir l’infini ∞ si on la pousse à atteindre la vitesse limite de causalité c.

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Or ce comportement s’explique en considérant qu’une information requerra un nombre plus important de mailles pour être transmise plus rapidement afin de ne pas saturer la capacité des mailles d’espace-temps et ainsi de corrompre ou de perdre cette information. L’usage de plus de mailles par unité de temps équivaut exactement à une plus grande quantité d’information fixe, donc à une plus grande masse.

La gravitation

On peut même comprendre les effets cosmologiques comme la déformation graduelle de l’espace-temps lorsque la quantité de matière (d’informations) augmente. Si on considère que les mailles gardent toujours les mêmes dimensions, il faut donc accepter que ces déformations soient de l’espace-temps supplémentaire créé pour aider à supporter le poids grandissant des informations transportées sur la trame et non pas un étirement de ces mailles comme le montrent souvent les représentations de la gravitation de la relativité générale.

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Si la masse n’est plus qu’une information inscrite dans des paquets qui se meuvent plus ou moins rapidement sur la trame et qu’elle crée sur son passage des mailles d’espace-temps supplémentaires, il faut donc accepter que la gravitation qu’exerce une masse sur une autre représente simplement la propension de l’information à trouver le maximum de mailles d’espace-temps d’informations et à s’en rapprocher afin d’en utiliser une certaine quantité à son propre profit.

Une masse importante crée une grande quantité de mailles d’espace-temps vierges d’informations qui deviennent disponibles pour cette même masse d’information, mais également pour tout paquet d’information passant à proximité. Cela exerce sur ce paquet un attrait à se rapprocher de ces mailles supplémentaires, car chaque paquet d’information est conçu de telle façon à rechercher le chemin le plus susceptible de le transporter efficacement, donc à trouver le chemin où existent le plus de mailles.

Les trous noirs

Les trous noirs correspondent simplement à des endroits où le nombre de mailles à créer dépasse la capacité de la trame d’espace-temps. L’information transportée est alors piégée au sein d’une certaine quantité de mailles qui perdent leur capacité de générer des particules à cause de leur impossibilité de résoudre les équations à partir d’informations incomplètes au sein de chacune des mailles.

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Un trou noir, c’est un disque dur d’ordinateur au catalogue corrompu à cause d’une quantité trop grande d’informations. Les infos inscrites dans ces mailles sont irrémédiablement piégées.

L’expansion de l’Univers

On peut expliquer l’expansion de l’Univers par son besoin de transporter de plus en plus d’informations. Ce gonflement ne se produit pas sur les rebords de l’Univers, mais partout dans l’espace, créant des mailles supplémentaires capables de relayer toujours plus d’informations.

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Cette création se produit à partir de ce qu’on nomme aujourd’hui l’énergie sombre ou noire, une énergie potentielle capable de générer des mailles d’espace-temps à un rythme défini par la quantité d’information à transmettre afin d’éviter la saturation des mailles, le piégeage des infos et ainsi la production de trous noirs intempestifs.

Conclusion

Voilà en résumé comment un monde basé sur un transport d’informations sur des particules plutôt que sur le transport des particules elles-mêmes permettrait de comprendre et de lier la physique quantique et la physique cosmologique en une seule vision cohérente de notre Univers.

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Il reste tellement à écrire sur ce type d’Univers et de choses à expliquer, mais je suis sincèrement convaincu que cette vision permet de réconcilier une fois pour toutes les deux pans apparemment incompatibles de notre physique moderne.

Je poursuivrai mes réflexions sur mon «Univers tramé informatif plurivalent» (UTIP) dans d’autres articles qui seront répartis parmi beaucoup d’autres sujets de préoccupations. Restez à l’affût en vous abonnant.

Penser l’Univers autrement — 1

Je consacre deux articles se voulant un essai sur ce que je nomme un «Univers tramé informatif plurivalent (UTIP)». Ne paniquez pas, ce terme s’explique assez facilement en commençant par le début et en gravissant une marche à la fois. Un lien peut être fait entre cet article et l’Univers simulé que je décrit dans un article à lire ici

L’intemporalité du photon abordé dans un précédent article semble nous ouvrir une porte vers une vision radicalement différente de notre Univers. Je vous recommande de le lire si ce n’est déjà fait. Dans le présent article, j’utilise préférentiellement le photon comme exemple, mais le concept s’applique à n’importe quelle particule élémentaire massive ou non.

Création d’un photon

L’intemporalité photonique expliquerait sa non-localité, mais aussi la non-localité de toutes les particules massives ou non. Si un grain de lumière peut se retrouver n’importe où en un temps (personnel) nul, se pourrait-il qu’il soit déjà (potentiellement) partout?

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Alors, plutôt que de considérer le photon comme une particule ou une onde qui voyage dans l’espace-temps, regardons l’Univers comme un champ de potentiel énergétique emplissant déjà tout l’espace possible. En d’autres termes, l’espace possède déjà la capacité de créer un photon n’importe où, il suffit de lui dire où et quand le faire. L’espace contient la recette, les ingrédients et les ustensiles pour créer des photons, peu importent l’endroit et le temps (espace-temps). Il en va de même avec toutes les particules contenues dans le bestiaire de la physique.

Le processus fondamental

Une fois émis par une quelconque étoile sise aux confins du cosmos, le photon, ou en fait des informations le concernant se mettent à voyager dans la trame d’espace-temps. En soi, le photon ne voyage absolument pas et n’a pas à le faire. Ce sont ses papiers d’identité qui le font à sa place.

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Il est impossible pour nous de le détecter tant que ses papiers d’identité ne nous parviennent pas via la trame de l’espace-temps et ceux-ci prennent un certain temps pour nous parvenir. Cette vitesse de transmission des informations concernant le photon émis par l’étoile peut se nommer la vitesse de la lumière, la vitesse limite, la vitesse de causalité ou la vitesse de transmission des informations le long de la trame informative, choisissez le terme qui vous convient le mieux, tous s’équivalent.

L’information

Je reviens donc à mon article sur l’information, que tout est information. Ici, je pousse le concept encore plus loin en considérant que les voyageurs dans l’espace ne sont pas les particules elles-mêmes, mais seulement l’information sur ces particules qui se meuvent à différentes vitesses selon le «poids» des informations à transmettre, correspondant en fait à leur masse.

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Avec nos ordinateurs, on comprend très bien le concept de «poids» de nos documents et la vitesse avec laquelle nous pouvons les relayer d’un stockage à un autre. La masse des particules pourrait se comparer à un document informatique plus ou moins lourd, donc plus ou moins rapide à transférer.

Dualité onde – particule

Cette notion perd un peu de réalité sans toutefois s’inscrire en faux. En considérant que tout n’est qu’informations, cette dualité n’est que la représentation d’un lot d’informations avant et après leur matérialisation.

La masse

Si l’Univers n’est qu’informations, ce que nous nommons la masse des particules est ni plus ni moins que le bagage informatif maximal transportable par cette masse d’informations regroupées dans un seul et même «paquet». À chaque paquet de différentes valeurs correspond ce que nous nommons une particule de différente masse. La masse nulle du photon explique sa vitesse supérieure et maximale. Car au-delà de l’information contenue dans de la masse, il existe également d’autres informations de base portées par un photon, ne serait-ce que sa quantité de mouvement, son spin et son identité. Ainsi, transmettre quelques informations sur une trame conçue à cet effet, une trame d’espace-temps comme celle décrite dans la théorie de la gravitation quantique à boucles, exige une consommation de ressources temporelles, raison de la vitesse maximale, mais non infinie de la lumière malgré sa masse nulle.

Des mailles d’espace tridimensionnelles

La trame de l’espace est composée de mailles volumiques valant chacune un «volume de Planck». Ce volume indivisible et minimaliste serait capable de transmettre l’information d’un photon à ses mailles adjacentes à une vitesse phénoménale, je vous le donne en mille, le temps de Planck.

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Les mailles tridimensionnelles de l’espace sont si incroyablement fines qu’il nous est bien difficile d’en imaginer la quantité comprise dans un simple dé à jouer. 1098 mailles par cm3. C’est bien plus que le nombre total d’atomes dans tout l’Univers estimé à 1080.

Temps, vitesse de transmission et retard

Quant au temps de Planck, c’est le plus petit atome de temps. Il équivaut à 5 x 10-44 seconde. En fait, ce temps est déduit de la vitesse de la lumière lors du passage de l’information d’un photon d’une maille spatiotemporelle à l’autre.

L’information d’un photon qui se transporte d’une maille à l’autre s’effectue à la vitesse limite, elle n’accumule donc aucun retard de transmission. C’est pourquoi un photon semble intemporel. Son temps propre équivaut au retard accumulé de maille en maille. Puisqu’il n’y a aucun retard, il ne possède aucun temps propre, il est donc intemporel.

L’information d’une particule possédant une masse accumule des retards de transmission de maille en maille, l’empêchant d’atteindre la vitesse maximale.

Création des particules

Voilà le cœur du sujet et de mon idée d’une trame spatiotemporelle plurivalente. Chaque maille de l’espace-temps possède la capacité de faire apparaitre n’importe laquelle des particules à partir de l’énergie intrinsèque de chacune des mailles qui s’avère être l’énergie du vide. Il lui suffit de recevoir l’information sur sa nature et ses caractéristiques transmises sur la trame ainsi que la commande de la rendre réelle, de la créer. Cette commande provient de ce qu’on nomme la détection, la mesure, l’interaction entre elle et une autre particule déjà passée de l’état virtuel à l’état matériel.

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J’utilise le terme d’Univers plurivalent pour désigner sa capacité intrinsèque à créer n’importe quelle particule élémentaire à n’importe quel endroit de sa trame.

De cette façon, les particules ne se déplacent jamais dans l’espace-temps, même si on croit voir qu’elles le font. Ce sont ses caractéristiques qui sont transmises de maille en maille et celles-ci obtiennent ou non la commande de la générer. Sans cette commande, la particule reste à l’état virtuel d’information non traitée. Alors on la considère comme virtuelle ou délocalisée. En la détectant, la trame d’espace-temps résout les équations en utilisant les paramètres contenus dans le paquet d’information transmis et génère la particule correspondante.

Le prochain article continuera de relier ma théorie UTIP aux phénomènes physiques connus, tant ceux liés à la physique quantique que ceux traitant de relativité générale.

La catastrophe Cascadia

On pourrait croire à une rumeur, comme il en existe des milliers sur internet provenant de gens en mal de célébrité ou de revenus provenant d’une vidéo mal foutue mise sur YouTube.

Pourtant, ce dont je vais vous parler n’est pas du tout une farce ou une rumeur infondée et elle concerne une catastrophe naturelle encore plus importante que celle ayant engendré un tsunami dévastateur en Indonésie en 2004, mais cette fois-ci, le malheur frappera l’ouest du Canada et des É.-U.

Pâtiront de ce cataclysme, les villes populeuses de Vancouver, Seattle, Portland et Tacoma. Cependant, des dégâts majeurs et des pertes de vies par dizaines de milliers se produiront sur une longueur de 700 km le long de la côte ouest-nord-américaine. Les autorités des deux pays sont au courant depuis un bon bout de temps, mais on n’évacue pas des millions de personnes réparties dans une région aussi grande que la France sans raison évidente à très court terme.

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Je parle d’un séisme comme nous en avons peu connu. Les experts évaluent la magnitude du séisme déjà nommé Cascadia à 9,2 sur l’échelle Richter. En comparaison, le méga séisme de 2004 avait une magnitude de 9,0. Le cataclysme Cascadia correspondrait au troisième plus important séisme enregistré de notre histoire.

Pourquoi cette prévision n’est-elle pas une rumeur? Voici les faits. En l’an 1700, un terrible tsunami a dévasté le Japon ainsi que la côte ouest-américaine. Des légendes amérindiennes et des écrits japonais en ont attesté. Les géologues ont pu relier ces deux événements à un seul cataclysme de magnitude approximative de 9,0 survenu près des côtes américaines. D’autres cataclysmes d’amplitudes comparables se sont produits au même endroit à des époques plus lointaines. Ces séismes de très grandes amplitudes attestées par des preuves géologiques laissées par les tsunamis ont une récurrence d’environ 240 ans.

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Ainsi, autour des années 1940, un autre séisme de cette nature aurait dû se produire, mais ce ne fut pas le cas. Ce retard de 78 ans augure très mal puisque l’énergie continuant de s’accumuler à un rythme constant, lors de sa libération, elle en sera d’autant plus importante, de là l’évaluation du 9,2, une prévision très réaliste vu la longueur importante de 700 km de la rupture qui l’engendrera.

De fait, la cause de ces séismes de grande amplitude est bien connue. Le restant d’une vieille plaque tectonique nommée Juan de Fuca plonge sous la plaque nord-américaine qui se déforme sous l’énorme pression occasionnée par le frottement des plaques l’une sur l’autre. Lorsque l’élasticité de la plaque nord-américaine atteindra son point de rupture, elle décrochera en libérant toute l’énergie qu’elle aura accumulée durant ces 318 années le long des 700 km que mesure la plaque Juan de Fuca (ligne rouge).

Cascadia1.pngLa Colombie-Britannique et les états américains de Washington et de l’Oregon seront les premiers touchés par ce séisme, mais aussi par le tsunami dévastateur qui frappera les côtes seulement une quinzaine de minutes après le méga tremblement de terre. Bien peu de gens des basses altitudes auront le temps et l’opportunité de fuir vers des lieux surs à hauteur suffisante pour éviter les flux et reflux meurtriers.

Les organismes comme l’USGS (US Geological Survey)) et le FEMA (Federal Emergency Management Agency) ne peuvent rien faire pour éviter cette catastrophe. Ils installent des pancartes le long des côtes pour indiquer aux gens vers où s’enfuir. Ils organisent les futurs secours, mais s’ils voulaient réduire de façon importante les victimes, il faudrait évacuer les habitants de la côte ouest-nord-américaine sans connaitre pour combien de temps. On parle donc d’un déménagement permanent et non d’une simple évacuation. Puisque cela ne se produira pas et que le séisme frappera sans prévenir, le nombre de victimes sera conséquent.

Photos : geide.asso.frsciencealert.comexpress.co.uk

L’hystérésis !

Dans l’article précédent, j’utilisais le terme « hystérésis » pour parler du retard que certains systèmes engendrent entre les actions appliquées sur eux et les effets qu’ils dégagent par la suite. Une courbe vous montrait à quoi pouvait ressembler ce comportement. Je vous la remets.

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Ce mot d’origine grecque semble posséder la même racine que le mot hystérie et si vous le croyez, vous n’avez pas du tout tort. Ces deux mots ont bien une racine commune. Mais ne ratez pas la suite de cet article, car elle risque de vous surprendre.

À première vue, il n’est pas du tout évident de voir quel lien peut bien entretenir un mot désignant un retard entre la cause et l’effet avec un autre mot résumant un état de la conscience compris entre l’hyper réactivité et l’illogisme.

Je tiens à souligner ici à vous, mesdames, que la suite vous concerne directement. Je tiens également à vous dire que je n’ai pas écrit l’Histoire, je la raconte simplement sans la juger, elle ou ses acteurs.

Les racines grecques « hustora » à l’origine d’hystérie et hystérique, ainsi que « hustorein » à l’origine d’hystérésis signifient respectivement « utérus » et « être en retard, retardé ».

On saisit facilement le lien entre utérus et retard lorsque celui-là occasionne celui-ci lors d’une insémination réussie.

Il existe donc un lien fort entre l’utérus et les mots hystérie et hystérique ! Eh oui. Tout à fait.

Nous les hommes, étant dépourvus de la matrice, l’hystérie se rapportait autrefois uniquement à des sujets féminins pris d’une affliction les amenant à devenir hystériques. Ce trouble du comportement lié à leur utérus était traité par certains médecins, tous masculins à l’époque, qui croyaient sincèrement pouvoir le régler avec certains traitements appropriés.

Leur façon de faire passer l’hystérie était de donner aux femmes des massages sur et dans les parties génitales féminines. Le terme précis utilisé aujourd’hui pour décrire ce traitement est la masturbation et il n’est plus vraiment prescrit, comme vous pouvez vous en douter.

Et voilà la petite histoire de l’hystérie essentiellement féminine. Étrangement, le nombre d’hystériques à cette époque a grimpé en flèche, une vraie épidémie. Les traitements apaisaient effectivement les humeurs des dames, mais les sursauts devenaient toujours plus criants les mois subséquents. Allez donc y comprendre quelque chose !

Image : astriddick.com