TESS

La Nasa lance aujourd’hui dans l’espace un nouveau télescope chasseur d’exoplanètes. Du nom de Tess, le dernier-né de la Nasa va s’en prendre aux étoiles les plus proches de nous pour tenter de leur arracher leurs secrets. Ont-elles des planètes en orbite?

L’acronyme signifie Transiting Exoplanet Survey Satellite. Tess surveillera donc la baisse de luminosité produite lorsqu’une planète passe devant son étoile, une mini éclipse, en fait. Puisque dans la plupart des systèmes stellaires, les planètes orbitent dans le même plan, en découvrir une signifie la possibilité d’en découvrir plusieurs, dont celles résidant dans la zone habitable.

Contrairement à l’autre télescope dédié à cette tâche, le vieillisssant Kepler, Tess cherchera dans l’ensemble du ciel, mais visera principalement les étoiles les plus proches et de préférence les naines rouges. L’objectif avéré est de déceler de la vie extraterrestre et pour ce faire, les naines rouges, contrairement aux naines jaunes comme notre Soleil, sont stables beaucoup plus longtemps. Les spécialistes croient que cette stabilité accroit les chances de faire naitre et évoluer la vie jusqu’au stade de l’intelligence telle qu’on la connait.

fig1-exoplanets_1920x1080_2017_lw_most_recent.jpg

Une fois les exoplanètes détectées, Tess passera le flambeau à d’autres télescopes pour affiner les données. Le futur télescope spatial James Webb sera l’un de ceux qui poursuivra cette mission.

Ainsi, Tess cherche des planètes habitables et habitées dans notre voisinage immédiat. Ce qui suivra sera, bien entendu, l’envoi de sondes inhabitées. Mais d’ici là, il faudra améliorer nos systèmes de propulsion. Les réactions chimiques ont atteint leur maximum. Il faut équiper nos fusées de moteurs bien plus performants. Le moteur à plasma commence à donner des résultats intéressants. Sera-t-il suffisamment fiable pour bientôt embarquer des sondes à bord de fusées munies de tels moteurs? Une épopée à suivre.

Photos : Nasa

Le Pentagone reconnaît étudier les ovnis

Selon une enquête du New York Times, Le Pentagone aux É.-U. s’intéresse aux ovnis, ce qui a été confirmé par le principal intéressé. Cependant, il nie qu’un tel programme soit toujours en cours, le dernier s’étant étendu de 2004 à 2012 et les budgets n’auraient pas été renouvelés depuis. Le problème est que, durant cette même période, le Pentagone niait farouchement s’intéresser aux phénomènes aériens inexpliqués, n’y voyant, selon eux, aucun intérêt.

Durant cette période, le Département de la Guerre étasunien se serait particulièrement intéressé aux apparitions d’objets filant à des vitesses ahurissantes, manœuvrant d’une manière incompatible avec nos théories physiques actuelles ou restant stationnaires sans moyens apparents de sustentation et de propulsion. Toutefois, d’après le journal new-yorkais, les militaires continuent de rapporter de tels incidents.

Ce programme appelé Advanced Aerospace Threat Identification Program (Programme d’identification des menaces aérospatiales avancées) aurait été mis en place par le sénateur démocrate du Nevada Harry Reid. Le principal bénéficiaire des fonds destinés à étudier ces phénomènes inexpliqués n’est nul autre que l’entrepreneur Robert Bigelow, celui qui construit des modules spatiaux gonflables pour la Nasa et qui a récemment déclaré que les extraterrestres sont tout juste là, sous notre nez.

Une vidéo de mauvaise qualité provenant du Pentagone circule actuellement sur le web où l’on voit un objet de forme typique à travers le viseur d’un avion-chasseur en mode poursuite.

L’armée étasunienne ne semble jamais vraiment s’intéresser à ces phénomènes inexplicables. C’est un non-sens total venant d’un organisme chargé de défendre le pays contre toutes attaques potentiellement dangereuses. Donc, soit il continue de s’y intéresser en le niant, soit il sait exactement de quoi il en retourne et il le camoufle. Dans le cas où cette deuxième hypothèse serait la bonne, soit la menace est bien réelle et il nous la dissimule, soit ces objets sont de conception étasunienne, ou encore ils sont de mèche avec les entités manœuvrant ces aéronefs et ainsi la menace est contrôlée.

Que ces ovnis soient de facture extraterrestre ou qu’ils soient conçus par un peuple terrestre technologiquement très avancé qui se dissimule quelque part revient un peu au même à l’exception d’un point précis passablement important. Dans cette seconde hypothèse, la Terre étant la patrie de ces entités, elles ont intérêt à la préserver contre nos folies et nos dérapages. Ça ne semble pas le cas puisque nous continuons à mettre en danger notre Planète en la polluant de manière à engendrer un bouleversement climatologique irréparable. C’est pourquoi je pense plutôt que ce sont des visiteurs venus de loin pour nous observer et qui nous portent un intérêt plutôt d’ordre scientifique. Notez que les deux hypothèses pourraient être également possibles, l’une ne contredisant pas totalement l’autre.

À la fin de l’année 2016, j’avais prédit sur le site web de mon autre blogue qui est aujourd’hui fermé que 2017 verrait la confirmation de l’existence de vie extraterrestre, soit en la dénichant sur Mars, soit à travers les objectifs de nos télescopes, soit par une déclaration officielle d’un organisme réputé. Il reste moins de treize jours, alors faites vite ! je déteste être pris en défaut.

Les Petits-Gris – 4 – Et s’ils existaient ?

Dans l’article 3, j’expose de bonnes raisons de croire qu’ils ne sont que chimère. Toutefois, la récurrence des témoignages à leur sujet oblige à se poser la question à savoir s’ils existent vraiment. Il est tout d’abord intéressant de s’attarder sur leurs aspects physiologiques tels que décrits par une multitude de témoins dignes de foi, tels des militaires et des policiers, pour essayer d’en tirer des éléments d’information pertinents.

Il est possible de comparer leur physique au nôtre, car nous sommes tous deux des humanoïdes bipèdes. Tout d’abord, je dois avouer que leurs membres graciles ainsi que leur petitesse d’enfant me posent problème. S’ils proviennent d’une autre planète, celle-ci possède évidemment une force de gravité quelconque. Leur physique peut donc nous renseigner sur la grandeur de cette force. Si celle-ci est plus forte, elle aurait tendance à créer de petits êtres, justement comme les Petits-Gris, mais ils devraient être trapus afin de mieux supporter un poids supérieur. Leurs jambes seraient donc bien plus solides que ces piètres allumettes dont ils semblent disposer. Une forte gravité crée des corps petits et massifs. Les Petits-Gris seraient plutôt des Petits-Gros. La gracilité de leurs membres inférieurs semble donc contredire cette hypothèse. Ils proviendraient donc d’une planète possédant une gravité moins importante que celle de la Terre. Ce faisant, leurs membres inférieurs supportant moins de poids, l’ossature et la musculature peuvent acquérir une délicatesse conforme à celle décrite chez les Petits-Gris. Toutefois, cette moindre gravité laisse place à une deuxième conséquence non négligeable, les corps ont alors tendance à s’étirer en hauteur. Les Petits-Gris devraient être alors des Grands-Gris.

Si leurs périples dans l’espace s’effectuent en microgravité et s’ils durent longtemps, alors leurs membres inférieurs s’atrophieraient, un peu comme dans la description qui en est faite, mais leur corps entier deviendrait sphérique. Cet aspect n’est pas conforme à l’image véhiculée des Petits-Gris.

Cette analyse préliminaire soulève certains paradoxes. Évidemment, il me manque des points de comparaison puisque je connais assez peu de peuples extraterrestres bipèdes ! Cela va de soi, la faible quantité de mon échantillonnage fragilise mes conclusions. Toutefois, la gravitation est une force universelle qui dépend directement de la masse de la planète et à plus forte masse, les corps doivent soutenir plus de poids, ce qui oblige à posséder des muscles plus puissants. On n’y échappe pas, à moins d’être immergé dans un liquide en permanence.

On peut également argumenter en prenant l’histoire du corps l’humain à travers les âges comme point de comparaison. Il n’a pas toujours été aussi grand qu’aujourd’hui et pourtant, la gravité de la Terre n’a pas changé. Ainsi, pour une même force gravitationnelle, les corps peuvent devenir plus ou moins grands. Cependant, il était surtout question des régimes alimentaires pauvres en protéines et beaucoup moins équilibrés. Certaines études tendent à confirmer que la taille moyenne de l’humain semble avoir plafonné et qu’elle serait même en train de diminuer. Nous aurions ainsi atteint l’optimisation de nos dimensions par rapport à la force gravitationnelle terrestre. Je doute qu’on puisse blâmer les Petits-Gris de mal se nourrir. S’ils sont capables de voyager parmi les étoiles, ils sont certainement en mesure de s’alimenter convenablement pour subvenir aux besoins de leur constitution.

Un autre élément de leur physionomie soulève passablement de questions, c’est la grosseur de leur tête par rapport à celle de leur bassin. Cette disproportion par rapport à nos normes suggère qu’ils ne naissent pas de manière naturelle. Le même problème survient chez l’humain où la tête des bébés parvient difficilement à traverser le col de l’utérus et le vagin. La plupart des femmes doivent supporter d’énormes souffrances et les césariennes sont nombreuses. L’importante immaturité des bébés humains à la naissance est principalement due aux dimensions étroites des bassins de nos femmes bipèdes.

Si l’on se fie à la description classique faite des Petits-Gris, le problème de l’enfantement naturel serait encore pire que chez l’humain, voire même totalement impossible. Par conséquent, il existe trois possibilités. Soit ils naissent par césarienne précoce, soit ils se développent entièrement in vitro, soit ce ne sont pas des entités biologiques, mais plutôt des androïdes.

La solution androïde est plutôt attrayante. Elle permet de donner la forme désirée sans se soucier de toutes les contraintes biologiques. Ils peuvent même être sculptés sur mesure pour chaque type de peuple planétaire rencontré. Le remplacement en cas de perte ou de bris ne se comptabilise pas en « pertes de vies » et le contrôle sur ces entités est quasi absolu. Toutefois, si des humains ont déjà récupéré des carcasses de Petits-Gris, ils savent maintenant que ce sont des machines et une rétro-ingénierie est alors possible.

C’est pourquoi je pencherais pour une autre solution permettant des avantages supplémentaires, le clonage. Si les Petits-Gris sont des entités vivantes, des reproductions infinies d’extraterrestres semblables peuvent être déployées sans que la perte de quelques entités devienne catastrophique. La rétro-ingénierie est impossible, du moins les humains ne savent pas tirer des informations techniques d’une carcasse, et ils bénéficient de certains avantages qu’offre la biologie comme la télépathie, le contrôle de la pensée ainsi que le contrôle d’appareils par la pensée.

L’humain rechigne à envoyer des individus exécuter des missions risquées dans l’espace pour un tas de bonnes raisons. Pourquoi les extraterrestres, eux qui sont apparemment plus évolués, enverraient-ils des leurs, des scientifiques de surcroit, se frotter à des barbares sanguinaires imprévisibles qui possèdent la bombe nucléaire ? Ce serait de la pure folie ! C’est justement là où les clones prennent tous leurs utilité. Et eux aussi peuvent être physiquement modelés aux besoins des missions et des peuples rencontrés.

Une chose est certaine, ce serait idiot d’envoyer sur un terrain miné des individus ayant de l’importance ou de la valeur. Les Petits-Gris sont nécessairement des unités biologiques ou mécaniques à valeur marginale. À ce sujet et pour le prouver, j’ai justement réussi à capter et à partiellement décoder un message d’un Petit-Gris, Chef de mission sur Terre. Voyons ce qu’il avait à raconter.

«Salut mon cher ≈P§a$@¨‡ˆ• (mot incompréhensible). Je passe enfin le prochain week-end chez moi. Comme tu le sais, j’étudie un peuple primitif sur une lointaine planète qu’ils appellent Terre. Pour nous, ça reste évidemment la planète X$≥Y&3T§ÆV~9 (mot incompréhensible). Les Terriens-humains ont le don de tout compliquer ! Cependant, leurs connaissances techniques ont suivi une courbe de progression plutôt exponentielle et aujourd’hui, ils possèdent la bombe A, la bombe H, les lasers haute puissance et plusieurs dispositifs capables de vaporiser n’importe quelle créature biologique ou mécanique en une nanoseconde. Une chose est certaine, je ne leur enverrais plus mes meilleurs scientifiques! No way Jose! De toute façon, nos scientifiques refuseraient catégoriquement d’aller se promener là où règnent des illuminés qu’ils appellent des Trompes, des Joncounes ou de la Poutine, je ne sais plus trop. Moi aussi maintenant je me tiens le plus loin d’eux possible, malgré mon affectation sur le terrain. Pas fou, je reste sur la face cachée de leur belle grosse Lune grise. Quelle belle couleur ! Pas vrai ?

Oh, on a déjà été plus aventureux par le passé. Cela a tourné à la catastrophe sur toute la ligne. On a connu des pannes d’aéronefs et depuis ce jour, les Russes et les États-Uniens s’amusent à faire de la rétro-ingénierie sur nos vaisseaux pour percer les secrets de l’antigravitation après avoir, bien entendu, essayé autant comme autant de soutirer par la torture des informations sensibles à nos scientifiques. Ça suffit! On ne leur envoie maintenant que des androïdes ou des clones, rien de plus. L’oncle du chum de la serveuse au Pub « fesses d’humains à volonté » a perdu sa job à cause de cette gaffe et le neveu de la voisine du réparateur de zygomatographe à la station ƒ∆˚µ√ (mot incompréhensible) est l’une des victimes du crash d’aéronef près de leur village appelé Roswell. On a appris de nos erreurs, depuis une septantaine de leurs années, ce ne sont plus que des androïdes ou des clones qui survolent maintenant leur satanée planète. De toute façon, ils ne savent pas faire la différence, ils sont évidemment un brin arriérés! Ha ! Ha ! Ha ! Un brin ! Quel euphémisme ! C’est certain, les interactions sont maintenant moins directes avec les autochtones, on les surveille de plus loin, mais grâce au pack de la dernière mise à jour des systèmes de communications supraluminiques intercérébral, le décalage temporel est plus qu’acceptable, un femtogloc tout au plus, et là c’est parce que la température du condensat quantique hermitien s’est un peu trop réchauffé, sinon le résultat est encore meilleur. De toute façon, on n’avait plus le choix, fallait faire ce changement. Le Décret 3917 du Grand Escogriffe de la Cour des Neuf Yotl Anonymes du Nzg†th7fdxJ (mot incompréhensible) va bientôt nous empêcher totalement d’envoyer autre chose que des androïdes ou des clones. Tant mieux! On s’adapte! Pas le choix! C’est ça qui est ça! Advienne que pourra! Et cætera! Oui, cette dernière, je l’ai emprunté aux humains. Ils sont complètement fous, mais des fois, on penserait presque qu’ils réfléchissent. Ouais, je sais bien, c’est juste une divagation, surtout que le Décret 2685 du Grand Escogriffe de la Cour des Neuf Yotl Anonymes du Nzg†th7fdxJ (mot incompréhensible, mais le même que précédemment) nous interdit formellement de croire que les humains peuvent penser intelligemment. C’est juste de l’instinct, tout le monde est d’accord avec ça. Verrais-tu autrement? On deviendrait tous végétariens si on croyait le contraire! Pouah! Du tofu! Personne ne serait assez idiot pour avaler ça!

Bon, il faut que te laisse, ma grise veut s’acheter de nouveaux vêtements et elle insiste pour que je sois présent à l’essayage. C’est une excuse pour m’empêcher d’aller voir les danseuses exotiques avec mes chums. Tu sais, le club qui présente des terriennes ! Elles sont laides comme les huit péchés d’yzoutj, mais dégourdies comme ça s’peut pas ! Je n’aurais pas assez de mes huit doigts pour dégrafer leurs trucs qu’ils appellent des boutons ou des agrafes, je sais plus trop. On se croirait vraiment revenu à l’âge de l’automobile ! Et au cas où ça te tenterait de venir à ma bullosphère avec ta grise ce week-end, question de voir la mienne parader avec ses nouvelles combinaisons spatiales grises de toutes les teintes, vous êtes toujours les bienvenus. En plus, je suis en congé. Pas d’humains à abducter avant trois décaglocs. Alors, à la prochaine !»

Et moi aussi je vous dit : À la prochaine ! où il sera question d’un autre aspect plutôt intéressant du physique des Petits-Gris.

Photo: theportalist.com

Les Petits-Gris – 2 – Primeur : Québec 1992

Je travaille toujours sur la suite de l’article concernant ces entités qui seraient originaires d’une autre planète de notre Galaxie. Ne vous offusquez pas de me voir utiliser le conditionnel. Tant et aussi longtemps que leur présence n’est pas officiellement avérée, je me dois de l’utiliser. Avant de poursuivre mon analyse des Petits-Gris, j’incorpore ce présent article qui vous surprendra très certainement. Par un curieux hasard, une vidéo a été téléversée hier sur YouTube qui relate la découverte au Québec en 1992 d’un cadavre de ce qui ressemble étrangement à un Petit-Gris. Je vous transmets le lien afin que vous puissiez immédiatement la regarder.

Cliquer ici pour voir la vidéo

Cette vidéo présentée sur la chaine Secureteam10 de YouTube a été filmée à l’hiver 1992 dans l’ouest du Québec. Le cadavre d’une créature étrangement semblable à la description faite des Petits-Gris a été placé sur un fil tendu afin de mieux le voir et aussi pour éviter tout contact physique potentiellement dangereux. Il a été trouvé par des motoneigistes circulant le long de la rivière Rouge, une région encore très sauvage uniquement accessible l’hiver par les motoneiges.

Pour des raisons de sécurité pour les auteurs de cette vidéo, elle n’a jamais été rendue publique avant hier et encore, elle a seulement circulé anonymement sur le Dark Web avant d’être coulée puis reprise par le webmestre de Secureteam10. Quelqu’un a filmé un téléviseur sur lequel était présenté cet événement vraiment unique. La qualité laisse donc passablement à désirer par rapport à nos critères actuels, mais est tout de même suffisante pour faire une assez bonne analyse du sujet présenté.

Tyler, le webmestre de Secureteam10 ne croit pas à un canular. Comme vous avez pu le constater, trop d’informations anatomiques cohérentes nous permettent de croire qu’il s’agit véritablement d’une créature réelle, humanoïde et possédant les attributs généralement décrits chez ceux qu’on appelle les Petits-Gris.

Si vous ne connaissez pa la chaine Secureteam10 sur YouTube, je vous dirais que son auteur tente régulièrement de déceler les canulars. Il n’est pas du genre à s’extasier sur n’importe quel élément visuel discutable qu’on lui présente. Bien entendu, il croit ferme aux extraterrestres et certaines des ses analyses manquent parfois un peu d’objectivité, mais dans l’ensemble, je considère qu’il s’en tire relativement bien.

J’aimerais connaître votre opinion concernant de cette vidéo. N’hésitez donc pas à me transmettre vos commentaires.

Les Petits-Gris — 1 — Origines

Je réfléchis beaucoup à l’éventualité que des extraterrestres puissent venir nous visiter. D’après moi, il est inconcevable que nous soyons seuls dans notre Galaxie. Nous sommes à un cheveu de découvrir des exoplanètes abritant des êtres intelligents. Alors, pour une civilisation intelligente beaucoup plus vieille que la nôtre, ce doit être devenu un jeu d’enfant d’en trouver et ainsi, de nous trouver. Si par hasard, ils visitent notre coin de la Galaxie, on les a peut-être déjà aperçus. À ce sujet, une apparence revient constamment dans les récits de ceux prétendant en avoir déjà rencontré, ce sont les Petits-Gris, des êtres de la grandeur d’un enfant de six ou sept ans, de couleur grise, aux longs membres fins, une grosse tête chauve avec de gros yeux obliques noirs, une petite bouche, une absence apparente de nez, des pavillons d’oreille inexistants et enfin, quatre longs doigts par main.

Les sceptiques, quant à eux, disent que la population s’imagine les extraterrestres tels qu’ils ont été décrits dans des films populaires, et plus particulièrement dans la fameuse «Rencontre du troisième type». Ils ne feraient que reprendre à leur compte ce même concept encore et encore. Mais la présentation que Spielberg en a faite dans son long métrage existait bien avant ce film.

En 1901, H.G. Wells aurait été le premier écrivain à décrire des sélènes — des habitants de la Lune — de petits êtres gris, avec un large front, de gros yeux protubérants et sans nez. La question, évidemment, est à savoir si cet auteur de science-fiction a tout inventé, s’est servi de descriptions préexistantes puisque les extraterrestres sont censés venir nous visiter depuis des millénaires, ou aurait lui-même été témoin de leur apparence lors d’une rencontre du troisième type.

Il fut question de petites entités maigrichonnes lors de l’écrasement d’un véhicule aérien à Roswell en 1947. Toutefois, cette histoire fut profondément enterrée par les autorités militaires états-uniennes et ne redevint populaire que durant les années 1970. Entre-temps, en 1965, les journaux décrivent la mésaventure d’un couple ayant apparemment été enlevé par des extraterrestres. Lors d’une séance d’hypnose régressive, Betty et Barney Hill décrivent leurs ravisseurs à l’image des Petits-Gris. Entre les histoires de Roswell et des Hill, les films d’extraterrestres sont très populaires durant les années 1950. Toutefois, le maccartisme régnant à cette époque préfère les entités envahissantes et agressives plutôt que de chétives créatures désarmées et plutôt inoffensives. Dans l’inconscient collectif, les extraterrestres représentent les vilains communistes envahissant l’Occident.

Au moment de réaliser l’énorme succès cinématographique «Rencontre du troisième type», Spielberg retient les services d’un consultant scientifique spécialiste de la question, un certain J. Allen Hynek. Celui-ci a travaillé pour l’US Air Force afin d’étudier les phénomènes aériens non identifiés qui devenaient de plus en plus fréquents et dérangeants pour ceux qui étaient censés contrôler l’espace aérien des USA. Au début, ultra sceptique sur le sujet, il devient beaucoup plus nuancé après avoir entendu une multitude de témoignages de gens fiables, des pilotes d’aéronefs civils ou militaires, des policiers, des scientifiques, des contrôleurs radar et toute une brochette de personnes lambda, sans antécédents excentriques ou psychiatriques. Ce que Hynek ignorait, c’est qu’il avait été embauché par l’armée pour démolir à l’aide d’arguments scientifiques les témoignages de ceux venus raconter leur expérience entourant certains phénomènes aériens non identifiés, pas pour y croire, et encore moins pour en apporter des preuves concrètes.

Les doutes qu’entretenait ce cartésien étaient qu’il ne voyait pas quel intérêt les Petits-Gris peuvent avoir à traverser des distances incommensurables pour venir nous effrayer. Le second argument concerne la possibilité technologique qu’ils puissent réaliser ces voyages cosmiques au long cours. Pour un scientifique de renom, ses deux indices militant contre leur existence réelle ressemblent plutôt à des échappatoires. Les humains parcourent la terre entière, les profondeurs océanes, les jungles les plus inhospitalières, les déserts les plus arides pour en apprendre davantage sur des espèces animales rares ou inconnues et, conséquemment, effrayer parfois leurs sujets d’étude, alors que Hynek émet des doutes sur les motivations des Petits-Gris à venir ici nous effrayer sans parler de la pertinence de nous étudier. Cette apparente dérobade prouve plutôt qu’il croyait l’inverse. Son deuxième argument nage dans les mêmes eaux. On ne peut connaitre ni comprendre la technologie utilisée par les extraterrestres pour voyager dans l’espace si on ne la connait ni la comprend. Plus simplement formulé, il disait donc penser que l’incompris n’existe pas. Avec ce type de propos inscrits dans ses thèses universitaires, il aurait été recalé, ça ne pouvait pas lui échapper. C’était sans aucun doute sa façon de nous dire qu’il croyait aux extraterrestres tout en sauvegardant sa réputation puisque toute sa vie, il a milité pour une étude scientifique des ovnis et des extraterrestres, sans a priori. L’échelle utilisée pour classer les rencontres possibles avec eux — premier, deuxième, troisième type — est justement de son cru. Étrange pour quelqu’un qui dit ne pas vraiment croire en leur présence.

Ce sont donc plusieurs témoins qui seraient à l’origine de la description des Petits-Gris et qui auraient inspiré Spielberg par l’entremise de Hynek. Évidemment, ce succès de 1977 eût tôt fait de disséminer leur apparence sur l’ensemble de la planète. Aujourd’hui, il n’est plus possible de différencier le mythe de la réalité sans apporter de solides évidences, ce qui, malheureusement, semble terriblement manquer à tous les témoins. D’ailleurs, les trucages de photos et de vidéos sont tellement fréquents et faciles à produire maintenant que la solidité des preuves s’en voit irrémédiablement compromise.

Un élément troublant concerne la raison pour laquelle ce type d’extraterrestre en particulier est devenu si populaire contrairement aux autres descriptions restées plus marginales. Le cinéma a inventé des centaines de formes et d’apparences diverses. Pourtant, les Petits-Gris semblent demeurer la plus crédible de toutes. Ce constat servira de point de départ du deuxième article leur étant consacré et qui traitera plus particulièrement de leur nature et leur apparence.

– Photo extraite du film «Paul»

RuSmEu

Certaines personnes soutenant avoir été enlevées par des extraterrestres se sont souvent retrouvées avec des petites incrustations sous-cutanées qu’ils relient temporellement à leur «abduction». Cet anglicisme ne possède pas le sens d’«enlèvement» en français, mais il est récurrent dans le vocabulaire des ovnistes.

Une chirurgie mineure leur a permis d’extraire ce qui ressemble à de minuscules cailloux métalliques. Cependant, la chair s’était fortement liée à ceux-ci, occasionnant l’obligation d’en retrancher une certaine quantité autour du caillou. On peut donc affirmer que les implants ont la propriété d’être biocompatibles. Jusqu’ici, c’est un peu bizarre, car les incrustations minérales que l’on rencontre normalement ne se lient jamais aussi bien aux tissus charnels à moins d’être en titane.

Une analyse de leur composition chimique a été exécutée afin de vérifier leur teneur. Et c’est là que la bizarrerie reprend. Le titane en est absent. Par contre, on retrouve du ruthénium (44 Ru), du samarium (62 Sm) et de l’europium (63 Eu). Eh non, l’europium n’est pas de l’opium venant d’Europe. Vous constatez, comme moi, que ces trois éléments chimiques ne sont pas ceux qu’on retrouve couramment dans notre assiette ou sur notre établi, une exception, à l’occasion, dans des mots croisés.

De fait, ils sont tous les trois très rares à la surface de la Terre. Le ruthénium est souvent allié à de l’iridium. Ces deux éléments se retrouvent habituellement dans des météorites. Quant au samarium et à l’europium, deux lanthanides créés au moment de l’explosion de supernovæ, ils se retrouvent, eux aussi, dans des météorites.

Mais que font ces gens avec des morceaux métalliques aussi étranges dans leur organisme? Ils n’ont tout de même pas été mordus par une météorite colérique! Faut-il alors prendre leur histoire d’abduction au sérieux?

Lorsqu’il étudie certains animaux, on sait que l’humain en échantillonne une certaine quantité pour les équiper d’une bague ou d’une balise afin de les repérer plus facilement et de suivre leur périple avec précision. Les extraterrestres font-ils de même avec nous? Ce serait très logique et compréhensible. Si c’est le cas, on est loin de comprendre la technologie utilisée dans ces implants.

Chose certaine, toutes les créatures vivant dans notre univers sont obligées d’utiliser les mêmes 118 éléments chimiques que nous connaissons. Ce qui change, c’est la façon de les utiliser. Voilà moins de cent ans, on ne connaissait nullement l’usage qu’on pouvait faire de certains éléments chimiques qu’on utilise aujourd’hui fréquemment dans les circuits intégrés. Si les extraterrestres nous avaient équipés à l’époque de tels dispositifs, nous n’aurions reconnu qu’un grain de sable.

Alors que dire de ces étranges implants? Force est de constater qu’il est impossible que des gens se soient intentionnellement ou involontairement planté ce genre de caillou ayant cette composition chimique sous la peau. Ce qui semble plutôt improbable, c’est que ce soit d’origine extraterrestre. Mais comme dirait Sherlock Holmes: «Quand on a éliminé l’impossible, ce qui reste, aussi improbable soit-il, se doit d’être la vérité».

Les extraterrestres existent-ils ?

Au cas où le titre serait ambigu, je n’aborderai pas la question à savoir s’ils sont venus ou s’ils viennent nous rendre visite sur Terre. Cet article traite de la vie extraterrestre intelligente.

Un vieux sage vous dirait qu’il faut des preuves solides pour transformer cette question en affirmation. Un exoplanétologue affirmerait qu’avec une population probable de 10 milliards de planètes habitables dans notre Galaxie, les chances que les extraterrestres intelligents existent sont pratiquement de 100 %. Une fervente tonnerait que Dieu n’a créé qu’un seul peuple à son image et c’est l’humain. La question intéresserait un pape qui vous parlerait de son superbe télescope capable de dénicher la vie extraterrestre. Un sociologue raconterait qu’avec la découverte des sciences de l’atome, les extraterrestres intelligents ayant gardé leur côté belliqueux ont toutes les chances de s’autodétruire et ainsi, les civilisations avancées disparaitraient rapidement. Un conspirationniste avancerait que les preuves existent depuis longtemps. Un martien confirmerait qu’il détient la preuve que la vie extramartienne intelligente existe sur la Terre, mais qu’elle est très peu évoluée. Un schizophrène sait qu’ils lui parlent fréquemment. Un général d’armée demanderait de plus importants budgets pour nous protéger contre une invasion extraterrestre imminente. Un capitaliste nous vendrait un bunker anti-extraterrestre en nous apportant la preuve qu’ils existent sous forme de photographies de ses enfants très bien maquillés. Un écrivain nous dirait qu’ils existent parce que ce sujet est si souvent abordé dans la littérature qu’il serait impensable que ce ne soit qu’une lubie collective. Et enfin, le désabusé maugréerait en pensant que l’amour est aussi un sujet souvent traité en littérature et on ne lui a jamais vu le bout du nez, alors pour le bout du nez des extraterrestres… pfff !

Indubitablement, les extraterrestres intelligents existent. Les preuves viendront ou celles que nous avons déjà seront dévoilées. Ce n’est qu’une question de logique et elle se résout par la logique. L’Univers est conçu pour engendrer la vie évoluée. Pour preuve, notre existence après cinq extinctions de masse. Pas une, pas deux, mais bien cinq éradications presque totales de la vie sur la Terre et un retour à la case départ à chaque occasion. Notre caillou fait probablement partie des planètes habitables les plus malchanceuses de la Galaxie. De plus, notre Soleil, une naine jaune, n’est pas toujours clément. Les étoiles naines rouges, de loin plus nombreuses que les naines jaunes, permettent à leurs planètes en révolution autour d’elles de bien meilleures conditions de stabilité sur de beaucoup plus longues périodes, accroissant d’autant les probabilités d’émergence et d’évolution de la vie intelligente. Conclusion logique : si la Terre et son Soleil ont réussi à accoucher de nous, la vie intelligente ne peut que pulluler ailleurs.

De tous les temps, l’humain a cherché à se définir comme un être d’exception. Ce caractère est de l’égocentrisme et il a donné naissance au géocentrisme, à l’héliocentrisme et à tout un tas de théories centrées autour, ou pas très loin de son nombril. Aujourd’hui, nous savons que ni sa cicatrice, ni sa tribu, ni son ile, ni la Méditerranée, ni la Terre, ni le Soleil, ni la Voie lactée, ni le Groupe local (de galaxies), n’est au centre de quoi que ce soit.

Nous ne sommes pas une exception, malgré le mal fou que l’on se donne pour défendre cette ânerie. Un jour, dans nos conversations, nous dirons : « Te rappelles-tu comment nous étions naïfs, stupides et imbus de nous-mêmes lorsque nous pensions être la seule espèce technologiquement avancée de la Galaxie et même de l’Univers ? » Et nous irons interroger Wikipédia pour voir la liste et le décompte des espèces intelligentes d’extraterrestres décrites dans le catalogue jusqu’à ce jour.

Ce jour… n’est peut-être pas aussi éloigné qu’on pourrait le penser. Les scientifiques savent aujourd’hui comment trouver les preuves de leur existence en restant bien sagement assis devant leurs écrans. La traque va bon train et en définitive, elle portera fruit. Nous avons confirmé à ce jour 3 643 exoplanètes dont 171 de masse inférieure à 8 fois celle de la Terre. On considère que de la vie intelligente aurait plus de chance de se développer sur celles-ci.

Et à savoir si nous ne possédons pas déjà certaines preuves de l’existence d’êtres intelligents issus d’au-delà de notre Terre, les indices s’accumulent. Certains remparts semblent craquer de toutes parts. Des langues se délient. La jeune génération est moins encline que les précédentes à accepter et à supporter les complots, les dissimulations et les gommages. Justement, les erreurs de gommage se succèdent, laissant d’étranges objets visibles sur certaines photographies d’agences spatiales. Ces objets sont maintenant vus à très haute résolution, éliminant par le fait même les possibilités d’imaginer des trucs inexistants, tout en compliquant la tâche de ceux qui sont payés pour nous pondre des explications tarabiscotées sorties du même sempiternel chapeau.

Dans un possible prochain article, j’essayerai peut-être d’aborder l’épineux et controversé sujet de la possible présence près de, ou parmi nous, d’extraterrestres. Tiens, tiens ! Ma façon de m’exprimer se teinte soudainement d’une grande prudence. Deviendrais-je timoré?

L’Antarctique, terre de glaces et de mystères

Paradoxalement, ce septième continent éloigné de tout fascine de plus en plus de gens. C’est tout de même étrange puisque ce pays de glace s’étendant sur une superficie de 14 millions de kilomètres carrés est plutôt monotone. Presque aucune flore, que des manchots, des phoques et des sternes, on fait vite le tour de la question. Par contre, certains scientifiques y trouvent leur compte pour d’autres considérations. Puisque c’est un désert, l’air y est très sec, il n’existe aucune pollution lumineuse, la nuit y est totale pendant plusieurs mois, des conditions idéales pour y installer des observatoires astronomiques.

Ces recherches scientifiques pourraient peut-être expliquer la présence au début décembre 2016 de Buzz Aldrin, le second homme à avoir marché sur la Lune. Peut-être. Certains semblent avoir d’autres théories plus exotiques. Presque au même instant, le secrétaire d’État des USA, Jim Kerry, y faisait un saut lui aussi. Pourquoi ? C’est également un mystère puisque le numéro 2 de la Politique américaine n’a rien d’officiel à y faire. Et il y a plus étrange encore. Le Patriarche Cyrille (Kirill) de l’Église Orthodoxe moscovite a, lui aussi, débarqué sur cette terre de désolation au lendemain de son tête-à-tête historique avec le pape François en février 2016. Plutôt étrange, car à ma connaissance, les phoques sont toujours athées et les sternes n’en ont que pour la sardine. Bien peu d’âmes à convertir et bien peu de fidèles à rencontrer. Mais alors, quelles raisons peuvent bien attirer tous ces gens atypiques de ce milieu jusqu’au bout du monde ? Est-ce la même raison qui attirait les sympathiques nazis en 1938 ? Depuis un certain temps, des rumeurs persistantes de bases secrètes d’extraterrestres ou d’intraterrestres circulent parmi les adeptes des théories du complot et autres penseurs alternatifs. D’autres parlent des nazis qui y auraient pris pied juste à la fin de la Seconde Guerre mondiale, emportant là-bas des trésors et peut-être Hitler lui-même. Cette théorie est beaucoup moins folle qu’il n’y parait lorsqu’on sait que la dépouille reconnaissable de l’ancien führer n’a jamais réellement été présentée au public.

Quoi qu’il en soit, ce continent est suffisamment vaste pour receler bien plus d’un mystère. Certains nous seront progressivement révélés, ils font partie des énigmes scientifiques qui trouveront réponse un jour ou l’autre. Quant aux extraterrestres, aux intraterrestres ou aux nazis, gageons qu’ils resteront pour longtemps encore des conjectures irrésolues ou des vérités tues.

Lire la suite « L’Antarctique, terre de glaces et de mystères »